Pour l’histoire, je suis un hybride breton-provençal né dans le Morbihan en 1993. Mes parents, des personnes fantastiques, m’ont nommé Maxime Raphaël Marceau Bernard. Tandis que mon patronyme établissait déjà la dimension ursine de mon être (Bernard signifiant ours fort), mes différents prénoms étaient autant de présages de l’expression de mes multiples personnalités et de mes intérêts éclectiques.

Exalté par l’art et le dessin depuis ma plus tendre enfance, je passe mon temps à dessiner. Beaucoup de figures féminines, de créatures farfelues et de paysages enchantés. En grandissant je développe une curiosité pour les mythes et les religions antiques, l’histoire, l’astronomie, l’océanologie et la philosophie entre autres choses. Les références à ces sujets sont omniprésentes dans mon art. Je découvre aussi Fransisco de Goya, Jérôme Bosch, Vincent Van Gogh, Adolphe Bouguereau, Edmond Dulac, Walter Crane, Kay Nielsen et François Boucher, qui sont autant d’influences qui m’émeuvent et me fascinent.

Chemin faisant, l’art au cœur et désireux d’être proche des artistes, j’ai l’opportunité d’évoluer à des postes en marketing et communication à Paris dans divers milieux culturels : le théâtre, le cabaret, le spectacle vivant, les arts graphiques et la mode. En parallèle je transmets ma passion pour le dessin lors d’ateliers artistiques pour les enfants dans des hôpitaux et réalise des tableaux sur mon temps libre.

L’appel de mon âme pour la création et l’audace dans mes entrailles me poussent à changer de vie et à m’établir pleinement en tant qu’artiste-peintre à partir de 2020 sous le nom de Max de L’Ours. Au-delà de la référence à mon nom de famille, Max de L’Ours est un clin d’œil au personnage de conte Jean de L’Ours, une créature mi-homme mi-ours, à la nature duale, qui tient à la fois du merveilleux et de l’ambigu, rejoignant mon propos sur l’harmonie des forces opposées.

Je réside et travaille actuellement à Rennes, en Bretagne.